Rarement un club n’a autant justifié son appellation d’écuries de star. Non content d’avoir embrasé les médias et le public à travers le mercato de l’année dernière, voilà que le PSG annonce un évènement qui avait failli déjà se réaliser mais qui, pour le coup, va vraiment avoir lieu : David Beckham, l’icône anglaise du football, légende vivante du ballon rond ayant à son actif la participation à la plupart des plus grandes compétitions internationales.

Une arrivée au PSG longtemps attendue…

Depuis que le Qatar est propriétaire du PSG, force est de constater que ce club devient un vivier unique de joueurs-star dont le plus mémorable est actuellement Zlatan Ibrahimovic. Déjà envisagé lors du précédent mercado, David Beckham n’avait finalement pas fait partie des nouveaux arrivés.

… et qui sera finalement exaucée

En accueillant David Beckham au sein de l’équipe, le PSG réalise incontestablement le plus fameux coup de pub de l’année dans la planète Foot. Outre le fait de voir ses rangs s’enrichir d’un joueur exceptionnel, les retombées en terme de publicités, de merchandising et autres recettes médiatiques seront à la hauteur des sommes engagées.
En dépit de son âge (37 ans), l’arrivée en fanfare de Beckham placera assurément le club sous le feu des projecteurs. Au terme de plus de quatre mois de négociation, L’ancien joueur du Real Madrid, de l’AC Milan ou de Manchester United a finalement cédé aux sirènes de Paris. Pour la modique somme de 800000 euros par mois, le PSG s’adjoint les services et l’image d’un des joueurs les plus « bankable » du Football mondial.

Avec l’arrivée en fanfare de David Beckham, le PSG s’éloigne encore un peu plus des autres clubs nationaux. Etoffant davantage l’incroyable brochette de stars déjà titulaires dans le club, comptant, outre « Ibra » d’autres vedettes telles que Pastore, Sissoko ou Ménez, le PSG entre définitivement dans une autre galaxie footballistique et converse d’égal à égal avec les plus grands clubs planétaires. L’arrivée (enfin) de David Beckham constitue sans nul doute « la cerise sur le gâteau ».