Gérard Depardieu : Futur ministre de la culture en Russie ?


Le célèbre acteur français Gérard Depardieu a été accueilli comme un héros à Saranks en Russie, après que le président Russe Vladimir Poutine lui ait remis son passeport Russe.

Gérard Depardieu, les Russes l’ont déjà accepté

Après que le président Russe ait donné la possibilité à l’acteur Gérard Depardieu d’obtenir le passeport Russe, le spectacle est loin d’être fini ! En effet, dès lors son arrivée à l’aéroport de Saransk, une ville de 300 000 milles habitants et capitale de Mordovie, l’acteur a eu un accueil digne d’un chef d’état. Au programme, fanfares, gouverneur de la région et femmes vêtues de costumes traditionnels chantant sur le tarmac !

Le président Vladimir Poutine a accordé la citoyenneté russe à gérard Depardieu qui a annoncé vouloir quitter la France et rendre son passeport français pour échapper à des impôts qu’il juge trop lourds.

Et comme si ce la ne suffisait pas, le gouverneur de la région de Mordovie aurait proposé au nouveau citoyen, le poste de ministre de la culture de Mordovie. Il lui a également offert la possibilité de choisir un endroit pour construire une maison ainsi qu’un appartement.

Un passeport qui fait scandale !

Depuis que les français ont appris que Gérard Depardieu souhaitait quitter la France afin d’échapper aux impôts, qu’il juge trop lourds, les réactions ne se font pas rares. L’acteur célèbre en France et qui n’a pas sa langue dans sa poche, suscite de nombreuses réactions, dans la presse mais également sur les réseaux sociaux où beaucoup d’internautes se moquent de lui.

Comme on peut le voir dans le twitte ci dessous:

 

A noter que l’actrice Brigitte Bardot soutient l’acteur, et souhaite quitter la France également.

Des critiques plus sérieuses concernant la relation que l’acteur a avec le président Russe, Valadimir Poutine. La Mordovie est très connue pour ses camps de prisonniers construits à l’époque de Staline… L’une des jeunes femmes du groupe Pussy Riot, condamnées à deux ans de camp, purge sa peine en Mordovie…