Scarlett Johansson s’en prend à un éditeur français


L’actrice Scarlett Johansson ne semble pas apprécié un ouvrage mentionnant son personnage en tant qu’actrice dans un livre de Grégoire Delacourt.

Scarlett n’aime pas qu’on l’utilise

La grande star Scarlett Johansson, surtout connu pour ses rôle dans « Match Point » et plus récemment dans « Avengers » a décidé de s’en prendre à un auteur français. Elle s’en prend plus précisément à l’éditeur de l’ouvrage. La raison ? La star n’a pas apprécié l’utilisation de son personnage dans le roman de Grégoire Delacourt, intitulé « La Première chose qu’on regarde« .

Dans cet ouvrage, le personnage de Scarlett est utilisé pour illustrer la beauté d’une autre femme. Une femme qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau. Dans le roman, elle est d’ailleurs présentée comme « la plus belle poitrine d’Hollywood« . Des compliments donc pour une femme qui fait la couverture des magazines chaque semaine. Mais il semblerait que la star n’ai pas apprécié l’hommage et décide de régler ça directement en justice.

Grégoire Delacourt ne comprends pas

Du côté de l’auteur, c’est l’incompréhension. Grégory Delacourt ne s’attendait pas à ce que l’actrice réagisse de cette façon.

Ce qui m’attriste, c’est que j’ai vraiment voulu faire une histoire d’amour, un énorme hommage à la beauté des femmes, surtout à la beauté intérieure.

Scarlett Johansson n’a donc pas du comprendre la plume de l’auteur français. Et malheureusement, tout cela va se régler directement en justice, pas de constat à l’amiable possible apparemment.

C’est juste un peu flippant de penser que quand on parle d’un personnage dans un roman, tout à coup la justice peut s’en mêler. C’est assez triste. Si on ne peut plus parler d’un personnage public, d’une place publique, d’un nom propre, c’est un peu flippant.

Espérons pour l’actrice, l’éditeur et l’auteur que toute cette histoire se règle à l’amiable car une action en justice semble un poil exagérée. Si la star va jusqu’au bout de son action, il faudra alors de bons avocats à l’éditeur pour prouver de la bonne fois de l’auteur.