Métro Last Light : une aventure apocalyptique !


Le nouveau jeu de 4A Games, « Metro : Last Light » est disponible sur PC, XBox 360, PS3 et Wii U. Dans ce nouvel opus, le joueur incarne Artyom dans un futur post-apocalyptique à Moscou qui tente de survivre et de réconcilier les survivants pour empêcher une guerre.

Apocalypse à Moscou

Le nouvel opus « Metro : Last Light » de la société ukrainienne de développement de jeux-vidéo, 4A Games, succède à son grand frère « Metro 2033 ». Les joueurs retrouvent le héros Artyom, en Russie en 2034, qui cherche à se racheter une conscience et à empêcher une guerre latente entre différents clans et factions de survivants dont le Reich et les Communistes. En effet, suite à une guerre nucléaire qui a ravagé et détruit la planète, quelques milliers de survivants se sont réfugiés dans les tunnels du métro de Moscou afin de fuir les mutants restés à la surface et les radiations. A la surface, la ville est dévastée et littéralement détruite. Le joueur, équipé d’un masque à gaz, déambule parmi les décombres de bâtiments et voitures abandonnés dans les rues de Moscou et les graphismes sont tels qu’il n’est pas rare de s’adonner à quelques secondes de contemplation de l’environnement. A l’origine, les jeux « Metro 2033 » et « Metro Last Light » s’inspirent des romans post-apocalyptiques « Metro 2033 » et « Metro 2034 » de Dmitry Glukhovsky et dans ce nouvel opus, c’est l’écrivain lui-même qui a écrit les dialogues. Tous les NPC (personnages contrôlés par l’ordinateur) ont des révélations étonnantes à faire au héros et ces dernières servent souvent à faire avancer l’intrigue. La force de « Metro Last Light » réside dans la narration et la contemplation de l’environnement.

Un jeu de FPS

« Metro : Last Light » est un jeu de FPS, un jeu de tir réfléchi, puisque les munitions se font rares en ces temps apocalyptiques. A la surface, le joueur doit être stratégique et jongler entre les mutants et les radiations. En effet, pour plus de réalisme, Artyom doit régulièrement surveiller son masque à gaz pour ne pas manquer d’air et respirer des radiations tout en restant attentif aux éventuels mutants qui rôdent dans les rues de Moscou. L’ambiance du jeu est oppressante et suscite une véritable impression de solitude. « Metro : Last Light », déconseillé aux moins de 18 ans, est disponible sur PC, PS3, XBox 360 et Wii U. Bon jeu !