« Le Crocodile du Botswanga » : 3 bonnes raisons de voir le film


Sorti le 19 février 2014, « Le Crocodile du Botswanga » remet en scène notre duo préféré : Fabrice Eboué et Thomas Ngijol. Vous hésitez encore à le regarder ? Voici 3 bonnes raisons de ne pas manquer cette nouvelle comédie déjantée !

1. Un duo mythique à l’écran

Trois ans après le succès du film « Case Départ », les humoristes Fabrice Eboué et Thomas Ngijol reviennent sur le grand écran dans une nouvelle comédie. L’humour du film « Le Crocodile du Botswanga » devrait vous réjouir. Fidèle à lui-même, le duo dépasse les limites de l’humour, sans méchanceté aucune.

« La vérité, c’est que quand on propose une comédie saine, qui rit de tout le monde pour que ce soit universel, alors il n’y a pas forcément de limite. La plus grande forme de racisme, ce serait d’exclure telle ou telle communauté parce qu’on ne pourrait soi-disant pas rire de tout. Au contre. C’est en incluant tout le monde dans nos vannes qu’on conservera l’universalité dans ce pays. » – Fabrice Eboué à Metronews

2. Une comédie subtile et réussie

Le crocodile a rencontré un beau succès dès sa sortie en salles : 91 000 spectateurs français au démarrage ! La comédie loufoque et délirante réalisée par Fabrice Eboué et Lionel Steketee met en scène la rencontre entre un chef d’État africain et un jeune joueur de football et son agent. C’est un sujet de scénario osé, mais réussi ! Les vannes sont bien placées, les personnages sont crédibles et les clichés satiriques sont au rendez-vous.

« Le duo de réalisateurs passe de nouveau derrière la caméra pour critiquer dans la bonne humeur les travers de la société. Un moment de pur délire qui séduira l’amateur de l’humour de Fabrice Eboué et de Thomas Ngijol » – critique sur toutelaculture.com

3. Références à l’actualité de notre société

Plus qu’une comédie, « Le Crocodile de Botswanga » fait allusion à l’histoire et l’actualité. A travers l’humour, Fabrice Eboué désamorce la haine pour la tourner en ridicule. Dictature, football ou religion… Aucun sujet n’est tabou ! On retrouve alors le déclin de l’influence française sur les pays d’Afrique, les problèmes de corruptions internationales, l’épuration ethnique : noirs, blancs, jaunes… Personne n’est épargné. Enfin, le réalisateur n’a pas hésité à aborder la thématique du nazisme européen, associé au tribalisme.

« Le film a un humour subversif qui ne manquera pas d’en choquer certains. Pas évident de faire rire avec l’actualité de ces derniers mois. Pourtant, les vannes du Crocodile du Botswanga sont bonnes pour la plupart et ne versent pas dans le mauvais goût. Fabrice Eboué à l’écriture et à la réalisation, prouve que l’on peut rire de tout si c’est fait avec tact ». – critique sur braindamaged.fr

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