Pékin Express 2013 : Les dentistes toulousaines éliminées


La comédienne française Armelle était le passager mystère du huitième épisode de l’édition Pékin Express 2012 tandis que le duo corse Denis et Julie ont dû s’encombrer de deux poupées géantes mexicaines en papier mâché.

Direction Mexico

Pour cette huitième étape, cinq binômes sont encore en course : le père et le fils Fabien et Tarik, le couple Lolo et Lolotte, le duo corse Julie et Denis, les dentistes toulousaines Cyrielle et Constance et les amoureux voyageurs Salim et Linda. Armelle arrive dans l’aventure Pékin Express et se place aux côtés de Salim et Linda. Denis et Julie ont moins de chance puisqu’ils s’encombrent du handicap, deux poupées géantes mexicaines en papier mâché. Malheureusement pour eux, le stop ne sera pas une mince affaire. Les candidats se lancent dans la première épreuve et doivent se rendre dans l’un des quartiers de Mexico. La première équipe à rejoindre l’animateur Stéphane Rotenberg gagne directement sa place pour les États-Unis, ainsi que deux jours de repos dans un luxueux hôtel. La course bat son plein et c’est finalement, malgré leur handicap, Denis et Julie qui remporte la première manche, leur place pour les États-Unis et 48h de repos dans un hôtel de luxe à Mexico. Le duo corse doit attribuer leur handicap à une équipe et choisit de donner les poupées géantes de plus d’un mètre de haut à Cyrielle et Constance.

L’épreuve de la vachette

Pour la seconde épreuve, les candidats toujours dans la compétition doivent entrer dans une arène et casser des genres de piñata pour récupérer l’adresse ou Stéphane Rotenberg les attend mais gare à la vachette ! Et oui, pour corser l’épreuve, une vachette pas commode se trouve à l’intérieur de l’arène et n’hésite pas à charger les équipes. La comédienne Armelle, pas très à l’aise avec la vachette, se met à chanter « Toreador » de Carmen et n’hésite pas à lui parler directement pour tenter de la calmer.

« Tu me respectes, je te respecte » Carmelle à la vachette

A l’issu de la deuxième manche, c’est le père et le fils Tarik et Fabien qui remportent la victoire ainsi que leur place pour les États-Unis et le droit de rejoindre Denis et Julie à l’hôtel de luxe. En fin de journée, les trois équipes encore en course doivent trouver une habitation pour la nuit.

Blind test musical, façon mexicaine

Les candidats se remettent en route. Au court de cette troisième épreuve, ils vont devoir participer à un blind test musical : des musiciens mexicains vont jouer des chansons françaises et les équipes vont devoir deviner les titres des chansons et leurs interprètes. Lolo et Lolotte brillent particulièrement à cette épreuve puisque Laurence est une habituée des karaokés et donc de la chanson française. A la fin de la journée, c’est Salim et Linda, accompagnés d’Armelle, qui remportent la troisième manche. Les amoureux voyageurs sont assurés de partir aux États-Unis.

Cyrielle et Constance éliminées

Nouveau jour, nouvelle étape. Les deux binômes restant, Lolo et Lolotte et Cyrielle et Constance vont devoir s’affronter dans un sprint final. Les premiers arrivés sauveront leur peau et se rendront aux États-Unis, les derniers remettront leur sort entre les mains de l’enveloppe noire. Au programme ? Une course acharnée et un catcheur. En effet, un candidat de chaque binôme va devoir partir à la recherche d’un catcheur, les yeux bandés. A la grande surprise générale, Lolo et Lolotte remportent cette quatrième épreuve. Les dentistes toulousaines sont déçues. Il faut dire que jusqu’ici les filles avaient enchaîné les victoires et raflé la quasi-majorité des amulettes. Malheureusement pour elles, l’aventure s’achève ici puisque l’enveloppe noire est éliminatoire. Selon les règles du jeu Pékin Express, les dentistes doivent céder leurs amulettes à un binôme de leur choix. Elles décident de donner leurs amulettes au couple Lolo et Lolotte.

La semaine prochaine, l’animateur Jérôme Anthony sera le passager mystère et accompagnera l’équipe Salim et Linda. Julie et Denis ont attribué le handicap, deux footballeurs américains, à Lolo et Lolotte.